vendredi 5 mars 2010

Conseil municipal du 25 février 2010

Outre de nombreuses délibérations (que nous avons toutes entérinées), ce conseil contenait le « débat d’orientations budgétaires ». A partir des documents fournis (à lire ici), incomplets (puisque ne figuraient notamment pas les estimations des recettes d’investissement), Thérèse Dupont présenta notre proposition (à lire ici) : pas d’augmentation supplémentaire, en dehors de celle (légale) des bases (soit 1.2%). Néanmoins, pour le vote du budget le 29 mars prochain, en fonction des renseignements obtenus en commission des finances le 16 mars, nous affinerons notre position : peut-être sera-t-il possible de diminuer (voire d’annuler ?) cette augmentation ! Suite aux questions que nous avions déposées, nous avons appris que les « 5ans du Colysée » avaient coûté 25000 euros à la ville, et que le coût des vœux était, comme nous le craignions, disproportionné et déséquilibré : 39700 euros (dont 22700 pour la décoration et la mise en scène…) pour les vœux sur invitation du 13 janvier, 700 euros pour chacune des cérémonies de vœux de quartier, ouvertes aux habitants (2100 euros au total). Nous pourrions sans doute y trouver quelques sources substantielles d’économies !

Compte-rendu complet de ce conseil ici

3 commentaires:

Anonyme a dit…

Pourquoi toujours cette bataille de chiffres ? A ce rythme là, autant tout supprimer : les lambersartois ne sont-ils pas demandeurs de culture, d'animation, de cérémonies où chacun peut se retrouver et échanger ? Pourquoi allez-vous aux grands voeux alors que vous les critiquez ???

Anonyme a dit…

Bataille de chiffres ? Point de fiscalité oblige ! On peut se retrouver et échanger sans dépenser autant, non ? Quant aux demandes des Lambersartois, je ne pense pas que la culture, l'animation et les cérémonies soient prioritaires...

Anonyme a dit…

Il faudrait m'expliquer en quoi une cérémonie de voeux fait appel à la "culture". 22700 euros de "décoration et mise en scène", cela pourrait sans doute être transformé en subventions pour des clubs théâtre ou des troupes amateurs.
Vous remarquerez que je n'enlève pas les petits-fours aux heureux bénéficiaires d'invitations, qui d'ailleurs pour certains doivent être fatigués de se souhaiter mutuellement la bonne année à toutes les cérémonies de voeux du secteur !