Heureux le Lambersartois qui découvrait le bleu azur du fond de salle, les (subtils) jeux de lumière, et les reproductions des photos du calendrier 2009…
Heureux étions-nous, en lisant, le 12 janvier dernier (deux jours auparavant donc), sur le blog de notre premier adjoint, Yvon Cousin, les lignes suivantes :
Heureux étions-nous, en lisant, le 12 janvier dernier (deux jours auparavant donc), sur le blog de notre premier adjoint, Yvon Cousin, les lignes suivantes :
« La crise a du bon. Elle va tout naturellement -je le souhaite mais je n'en suis pas certain - inciter les collectivités locales et les administrations à stopper les excès de dépenses faites à l'occasion des cérémonies de voeux.L'inflation dans ce domaine était devenue galopante […] dans notre secteur, à Marquette, le maire Jean Delebarre a annoncé d'emblée dans son allocution que le décor de la salle n'avait rien coûté à ses concitoyens! C'est le service des Espaces Verts de la commune qui a paré du matériel prêté par une autre commune. Bel exemple n'est ce pas ? Peut-être verra-t-on se multiplier ce type de coopération entre les communes ? Après tout, sans tomber dans le banal, ce qui compte dans une cérémonie de voeux, c’est moins " le somptuaire " que les relations chaleureuses qui se développent. »
Malheureux sommes-nous, constatant que, pour la simple « mise en scène » des vœux à Lambersart, il fallut finalement débourser 22000 euros à une société privée ! Vingt-deux mille euros, sans compter les frais de bouche et de personnel, pour l’installation de la salle et sa décoration, pour le bien-être des 1400 privilégiés, dont nous l’espérons, vous étiez !
Malheureux sommes-nous, constatant que, pour la simple « mise en scène » des vœux à Lambersart, il fallut finalement débourser 22000 euros à une société privée ! Vingt-deux mille euros, sans compter les frais de bouche et de personnel, pour l’installation de la salle et sa décoration, pour le bien-être des 1400 privilégiés, dont nous l’espérons, vous étiez !
Si, à ce prix là, ce n’est pas du « somptuaire », qu’est-ce donc ?